<img height="1" width="1" style="display:none;" alt="" src="https://px.ads.linkedin.com/collect/?pid=4430092&amp;fmt=gif">
Se connecter
Retour au blog

“Les faillites risquent d’arriver en nombre”

restaurants-vides

Cette fin d’année n’est pas des plus belles pour les professionnels du secteur. Les syndicats tirent la sonnette d’alarme.

 

En cette fin d’année, le secteur pourrait se réjouir. Le gouvernement n’a annoncé ni fermetures, ni couvre-feux, ni confinements. En revanche, de nombreuses restrictions ont été annoncées aux Français. Ce sont ces nouvelles règles qui ont eu raison de l’activité des professionnels.

En effet, rien qu’à Paris, la fréquentation durant le mois de décembre a baissé de 30 % comparé à décembre 2019, selon les chiffres de l’UMIH. Après les dernières annonces du gouvernement, les professionnels ont essuyé une cascade d’annulations. Ajouté à cela, une grande partie des touristes qui ont déserté le pays.

 

Pour l’UMIH, l’État se doit de soutenir les établissements. Elle demande notamment le remboursement en différent des prêts garantis par l’État contractés tout au long de la crise sanitaire.

“Il faut repousser les échéances des PGE à 2023, c’est un minimum et les étaler sur dix ans” déclare Franck Delvau, président de l’UMIH Ile-de-France, à France Bleu Paris.

Pourtant malgré les nombreuses des syndicats, le gouvernement ne semblait pas prêt à repousser l’échéance du remboursement qui doit débuter en mars 2022

Le président de l’UMIH Ile-de-France tire la sonnette d’alarme : “s’il n’y a pas d’aide concrète sur le PGE voire une réactivation de fonds de solidarité, les faillites risquent d’arriver en nombre”.

 

Une réunion devrait avoir lieu en janvier pour discuter de cette question.